Je m’en veux.
J’ai abandonné mes lecteurs à un ennui terrible. Bon, j’exagère un peu, mais pour ceux d’entre vous qui ne peuvent pas me suivre par Facebook, j’ai vraiment été ingrat. Aucune nouvelle, aucun billet, même pas une indication des causes de mon absence si prolongée et du moment de mon retour. Impardonnable. Enfin, si vous ne pensez pas que c’est le cas, tant mieux, mais je vous le dis, vous devriez!
Que dire… que j’ai été débordé. Tout simplement. Débordé et coincé, entre certaines choses prévues depuis longtemps, et d’autres, tombées du ciel.
Tout d’abord une concentration de commandes pour le Journal du Barreau. Certaines prévues depuis un moment, d’autres découlant du Congrès annuel du Barreau. Au total, 25 feuillets (250 mots le feuillet, un grand total de 6 250 mots) livrables en plusieurs tombées réparties sur deux semaines. « Y’a rien là! » qu’ils vont me dire. Vrai. Et j’avais prévu que c’était tout à fait livrable (d’ailleurs, si ma rédac’chef me lit en ce moment, mes tombées seront respectées, t’inquiète).
Ajoutez à ça mon cours de télé et le dernier reportage de la session qu’il faut produire en 10 jours (tournage, montage, alouette). Ici, je ne m’étendrai pas trop sur le sujet. Je ne ferai que mentionner mon écoeurantite aiguë, dont mes coéquipiers ne sont pas responsables. Encore là, cette dernière production, j’étais convaincu de pouvoir la concilier avec les tombées dont je vous parlais plus tôt, même si normalement, j’ai deux présences par semaine pour les informations sur les ondes de CIBL Radio-Montréal. Deux semaines chargées, tout au plus.
Mais voici, j’ai eu un cadeau du ciel. Lire le reste de cette entrée »