Il y a tellement de sources de contenus pour lesquelles les gens sont prêts à payer. Pourquoi serait-ce différent pour du contenu de qualité sur le web?
Bernard Mooney du journal Les Affaires semble avoir mis le doigt sur le bobo. Et Stéphane Guérin à Québec le seconde.
La valeur ajoutée se trouve tellement plus dans le contenu (le site Internet) que dans le distributeur de contenu (le fournisseur de service Internet), c’est à se demander pourquoi on accepte un modèle où c’est le distributeur qui ramasse le gros lot. Ceci dit, le même principe pourrait s’appliquer à la télévision.